je vous écris d’une solitude
à propos de laquelle
les téléphones portables ricanent
comme nos ombres
elles savent
nos gestes et nos désirs
nos lâchetés
pour finir
Les sons portent peu. Ici, on peut gémir de plaisir ou de douleur dans une totale combinaison de solitude. J’aimerais aussi qu’on me touche. J’aimerais bien, mais je ne vois aucune main à proximité.